La colère et l’irritabilité sont des symptômes associés au SSPT (syndrome de stress post-traumatique). La colère et l’irritabilité sont des symptômes récurrents chez les patients atteints du syndrome de stress post-traumatique (SSPT). Un suivi psychologique est recommandé pour le traitement et la réduction des dommages qui peuvent être causés par des conditions sévères de ce trouble. Ces symptômes peuvent se manifester avec une intensité. Ils altèrent les relations personnelles, et même causées des dommages physiques aux personnes souffrant de SSPT. Une personne atteinte du syndrome de stress post-traumatique peut devenir agressive avec d’autres personnes et être blessée par la colère et l’irritabilité.
Le syndrome de stress post-traumatique est un trouble lié à l’anxiété. Plusieurs symptômes psychologiques, physiques et émotionnels se manifestent à travers le souvenir d’événements violents. La victime a été exposée à des situations extrêmes. D’où, elle a subi des événements mettant sa vie en danger ou en danger de mort. Elle peut avoir été témoin d’un événement lié à d’autres. Le réveil est si réel que le patient souffre de changements neurophysiologiques et mentaux, manifestant une série de symptômes. Beaucoup de gens mettent beaucoup de temps à chercher de l’aide pour traiter ce problème, ce qui peut aggraver la situation. Tous les patients ne ressentiront pas de colère et d’irritabilité, car ce n’est pas un critère pour le diagnostic du SSPT. Pourtant, ce sont souvent des symptômes associés à ce trouble psychologique. Les patients qui manifestent de la colère et de l’irritabilité ont l’impression que cela les étouffe. Ils manifestent un comportement violent et autodestructeur. Pour identifier les comportements de colère et d’irritabilité associés au SSPT, nous avons rassemblé les situations qui peuvent se produire. Aussi, nous avons la manière de les gérer. Pour identifier ces comportements, il est recommandé au patient de chercher un psychologue qui peut l’aider à gérer ces traumatismes. Ainsi, réduire l’incidence des symptômes liés au syndrome de stress post-traumatique.
Hyperactivité et SSPT
La colère et l’irritabilité sont des symptômes de l’hyperactivité. Ce sont des symptômes liés au PTSD. Ceux qui souffrent de ce trouble essaient souvent de combattre ou de fuir les souvenirs et les sensations liées au traumatisme. Cela génère de l’anxiété et le sommeil. Cette nuit de sommeil provoque de l’irritabilité et de l’hyper-vigilance, ce qui fait que le patient ne se détend jamais. La personne se sent menacée par un renouveau, quelque chose qui n’est pas rationnel, mais qui est totalement réel et récurrent.
Colère constructive et destructrice
Nous devons considérer qu’il y a une colère constructive et une colère destructrice. La colère soit une émotion associée à des réactions nocives et conduit souvent à un comportement nuisible. La colère seule n’est pas un mauvais sentiment. La colère constructive peut motiver la guérison, le dépassement, le mouvement et le désir de contourner des situations difficiles. D’ailleurs, la colère destructrice peut conduire à des abus et à la violence. Il convient de tenir compte de ces aspects pour gérer la colère et l’irritabilité de manière affirmée.
Comportement agressif dans les relations
Souvent, les personnes souffrant de stress post-traumatique peuvent reproduire un comportement violent dans leurs relations. C’est loin d’être une règle, mais on estime qu’une vingtaine de patients souffrant de SSPT peuvent être agressifs avec leur partenaire. Si cela se produit chez vous ou chez quelqu’un que vous connaissez, il est important de demander de l’aide pour reconnaître. Il peut s’agir d’un comportement associé à un SSPT grave, ou l’irritabilité. En effet, la colère dépasse les limites et cause un réel préjudice au patient et à ses proches.
Comportement autodestructeur
Un autre biais possible, résultant de la colère et de l’irritabilité, est celui des comportements autodestructeurs et autopunitifs. Ils peuvent même mettre en danger la vie du patient atteint de SSPT lui-même. Se retourner contre soi-même est une façon d’étouffer sa colère. Cela se produit souvent parce que le patient ne peut pas trouver des moyens sains de gérer la douleur. Ainsi, le stress, la colère, l’anxiété atteignent des niveaux incontrôlables et sont faussement atténués par un comportement autodestructeur. C’est pourquoi l’abus de substances, les comportements à risque, les attitudes catastrophiques et sans aucune conséquence peuvent être un moyen de canaliser la colère. Sachez qu’il existe des moyens bénéfiques de gérer la colère sans vous faire de mal ni à personne.
Gérer la colère et l’anxiété
Trouver des moyens de gérer la colère et l’anxiété est essentiel pour faire face aux symptômes associés au SSPT. Il n’est pas facile de faire face à ces sentiments lorsque nous avons perdu le contrôle. Mais certaines activités légères, la méditation, la pratique artistique et même le fait de parler à une personne de confiance. Tout cela peut grandement contribuer à réduire le stress causé par le syndrome de stress post-traumatique. Ce n’est pas simple, mais reconnaître le problème et essayer de le traiter est une étape importante vers la guérison.
Rechercher une aide professionnelle et des groupes de soutien
Compter sur un professionnel ou un groupe de soutien aide le patient à gérer ses frustrations, ses craintes et ses douleurs. Il est donc essentiel d’obtenir un soutien et de suivre une thérapie pour traiter le SSPT. Ce processus permet de gérer la colère, l’irritabilité et l’anxiété. En plus, elle permet de comprendre ce qui vous arrive, à vous et à votre corps, pendant les crises de réveil. Ce processus vous rend tout plus conscient et plus facile à gérer. Le psychologue a un rôle fondamental dans le traitement. Il est en mesure de recommander les meilleures pratiques pour traiter les symptômes, jusqu’à ce que le traumatisme soit surmonté. Si nécessaire, il oriente le patient vers un psychiatre pour un traitement médicamenteux.